Réseau Neuronal Artificiel, un pas vers le cerveau positronique ?
L’informatique de demain, la robotique surtout, se voudra “intelligente”.
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Après que Facebook ait ouvert des laboratoires de recherche à Paris, New York, en Californie, etc… les professionnels de la robotique et de l’informatique se penchent de plus en plus vers les système dits à “Réseau Neuronal Artificiel”.
Par exemple, Google s’y intéresse pour sa fameuse Google Car, la voiture qui devrait savoir conduire seule. Seul un tel système permettrait à l’ordinateur de bord d’analyser et interpréter son environnement sans écraser personne ou percuter quoi que ce soit.
Et pourquoi est-ce si intéressant et particulier ? Déjà parce que, pour la plupart des experts, le RNA est la base de l’Intelligence Artificielle. Des fonctions mathématiques (et logicielles) représentent les neurones d’un cerveau que le programme apprend peu à peu à interconnecter pour avoir un “raisonnement” tiré de son apprentissage. De là, nous pouvons obtenir des machines capables d’apprendre et de reconnaître le milieu qui les entoure.
A titre d’exemple, une mouche ne possède que 100 000 neurones mais sait parfaitement éviter les obstacles, bien mieux que n’importe quel drone auquel manque la capacité d’analyse.